Jacques est en vacances avec Albertine et leurs garçons sur l’île d’Oléron, comme chaque année. Le frêle esquif qu’il achète pour tromper l’ennui conduira la famille à rude épreuve. À l’image d’une glaviole intrusive sur laquelle trébucheront les personnages des films ultérieurs de Podalydès, Liberté-Oléron épuise toute situation comique, jusqu’à y installer un certain malaise.